Je me prénomme Blake Thomas Harry Nothington et j'ai vingt quatre ans. Cela fait maintenant deux années que je suis en Irlande. Je suis hétérosexuel et je fais parti de la noblesse. Je suis plutôt du genre; fou, drôle, insomniaque, hyperactif, sympathique, bagarreur, fêtard, infidèle, grossier et timide. Je suis célibataire. J'habite en Irlande parce que j'ai été rejoindre la seule femme que j'aime, je suis résté ici car je veux la reconquérir.
Je ne cesse d'écouter Who i Am de Nick Jonas and the administration car durant longtemps, je me cherchais et j'essayais d'être ce que les autres voulait que je sois. J'étais, disons... très manipulable.
J'aime faire toutes les choses possibles. Je suis un peu délinquant, alors j'aime foutre le bordel mais je suis capable de me retenir. Sinon, j'adore le rouge fluorescent même si ce n'est pas tellement dans ma palette de couleur. J'aime la pâte à dent à la menthe. J'aime la musique qui a beaucoup de basse. J'aime le chocolat blanc (voir peut-être un peu trop). J'aime bouger. Je suis un accro du sexe, et en plus, affirmé. J'aime la vie, le sport, les amis et même que... j'aime... une fille !!!
J'ai toujours été très bon côté art et construction. J'ai donc créé plusieurs choses, j'ai fait ma petite maison, ce qui m'a prit presque trois mois en tout. Et j'ai aussi créé la moitié de ma garde-robe.
Mon haut de forme, je dois avouer, n'a rien de très "extravaguant" il est bien trop normal. C'est un haut de forme noir (super original non ?) avec une ligne bleue attachée en noeud sur le côté. Cette ligne bleu est en motif (ici) alors que le reste du chapeau est noir. Il y a un badge d'un nounours sur le côté que ma mère avait dessinée pour son entreprise (ici). Mais sur mon chapeau, j'ai aussi un autre badge que j'ai dessiné pour ma petite amie que je met juste à côté de mon nounours. C'est un nounours (oui je suis accro aux peluches) qui tiens un coeur dans lequel il est écrit: I luv you (ici) Pour ce qui est du maquillage, je n'en ai jamais été vraiment fan. Ça a toujours été quelque chose d'extrêmement simple et ça change selon mon humeur mais tous les jours, je me mets des lignes colorées un peu partout sur le visage (sur les joues, sous les yeux et une grande qui part du front au bout du nez).
Pseudo/Prénom: LyptusLights aka Alex âge: 14 ans que pensez-vous du contexte et du forum en lui même? UN BIJOU EN OR présence? /7 Au moins cinq jours sur sept, mais je ne serai pas là du 31 Juillet au 8 Août. avatar: Chace Crawforninouu Autre chose à nous dire? Superbe forum ma petite française :)
Dernière édition par Blake T. Northington le Mar 27 Juil - 5:10, édité 5 fois
Blake T. Northington
Pseudo : LyptusLights Messages : 27 Date d'inscription : 26/07/2010
Pourquoi une vie commence toujours par: il était une fois. Pourquoi devons-nous toujours raconter ce qui fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui. Tant de questions, et toutes ont la même réponse. Une seule et même réponse. Parce que c'est la vie. Simple non ? Aussi simple qu'une naissance et une mort. Mais bon, comme vous me paraissez être très curieux, je vais vous révéler les dessous de mon slip *j'rigole* je vais vous raconter mon histoire.
Je suis né à Cuba, car ma mère avait fréquentée un cubain durant environ 1 an et elle avait couchée avec. Ils s'étaient protégés, mais la protection n'a pas tellement été efficace disons. Je suis né à Cuba, grande ville que tout le monde voudrait visiter mais j'y ai été que deux semaines avant que ma mère retourne en Amérique. Mon père est resté là-bas, il ne voulait pas bouger son derrière pour un enfant qu'il ne voulait pas et je le comprends. J'ai été élevé à Boston durant plus de quinze avant que ma mère reparte à nouveau mais cette fois-ci, à New York. Elle venait de se décrocher un job de mannequin et il fallait qu'elle vive dans la ville de la mode américaine. Lorsque l'on a emménagé là-bas, toute ma vie avait basculée. J'avais des tonnes d'amis à Boston et j'ai dû les abandonner comme ça, du jour au lendemain. Et puis ma mère s'était trouvée un homme dans sa vie, un mannequin du nom d'Ernesto... Ernesto ?! Je suis toujours pas plus capable d'entendre ce nom étrange, il se pensait plus bon que n'importe qui et on ne pouvait pas le contredire car il trouvait n'importe quelle raison pour nous foutre dans le trouble. Bref, ce Ernesto, je l'aimais pas et ma mère l'avait remarquée. Mais vous savez, l'amour rend aveugle, alors elle a continuée à le fréquenter plus ouvertement. Ils ont fait la couverture de nombreux magazines et ma mère adorait sa nouvelle vie, tellement que j'ai dû être élevé par une femme autre que ma mère. C'est cool non ? Surtout qu'elle était une sale enragée sur qui on ne pouvait pas se fier. Quand ma mère termina sa carrière de mannequin, jamais une aussi grande joie ne m'avait envahie. Car passé trente cinq ans, la carrière dans la mode est terminée pour la plupart des personnes. On retourna alors à Boston lorsque j'eus mes dix-huit ans. Ma mère a toujours adorée voyager, mais là, trois déménagements, c'était peut-être un peu trop. Ou pas assez ? Je n'en sais que dire mais la seule chose que je comprends, c,est que la vie est injuste. Je n'ai jamais pu avoir une relation stable sans que ma mère insulte la fille en question et la fasse fuir. Ma mère, je l'adore, mais je la déteste à la fois, c'est normal ? J'ai toujours voulu avoir une petite soeur, mais elle voulait avoir une fille avec son "Ernesto-adoré" pff.. Ouais bah moi, ce gars, je l'ai loin dans le derrière ! Une homme qui se prend pour superman et pour le mec qui sauvera tout le monde de la planète par sa beauté, c'est pas mon genre. Mais bon, ça, c'est la relation que j'ai eu avec ma mère. Assez compliquée je dois l'avouer. Car plus jeune, nous nous entendions très bien mais ensuite, c'était comme si plus rien n'allait. Aussitôt qu'elle a eu un nouveau copain et qu'on est déménagés à New York, on arrêtait pas de se chamailler, c'était impossible d'éviter une chicane une fois par jour. Et aujourd'hui, j'ai quitté l'Amérique pour ma fabuleuse petite amie et je n'ai jamais été aussi heureux de me séparé du cocon familial qui m'empêchait de vivre.
Sinon, venons en à mes relations. Plus petit, j'étais du genre renfermé qui ne parlait à personne parce que je n'étais une beauté fatale. J'avais une faible estime de moi même si je n'avais que six ans. Vous devez vous dire (QUOI SIX ANS ET IL SE SUPPORTE PAS ?!) bah moi je vous réponds AH QUE OUI ! C'est simple non ? Je détestais ma vie, je détestais ma famille et je n'avais pas de support paternel pour m'aider à surmonter toutes les étapes normales d'un enfant. C'est trois ou quatre ans plus tard que j'ai décidé de sortir de mon énorme cocon qui m'entourait pour aller parler avec des personnes. Je commençais à me faire des tonnes et des tonnes d'amis d'un coup. Devenant l'un des garçons les plus populaires de l'école. Les filles commençaient à s'intéresser à moi et à ma bouille d'ange, et quelques rares me détestaient par jalousie. J'étais maintenant dans les gens "cool" mon rêve depuis que je suis haut comme trois pommes. J'ai toujours rêvé de pouvoir vivre ma vie avec mes amis, de pouvoir avoir une bande qu'à moi, une petite amie qu'à moi et des admiratrices qu'à moi. N'ayant jamais eu une grande attention de la part de ma famille, j'avais mit cet objectif de côté parce que c'était prouvé que les gens avec moins d'attention de leurs parents deviennent moins populaires, faut croire que je suis l'exception à la règle. Avec les filles, c'était beaucoup moins facile, j'étais moins gêné mais j'étais toujours le même bon gars timide qui savait pas comment leurs parler. À chaque fois que j'en voyais une, je commençais à transpirer et je perdais ma langue. C'est comme si on m'avait jeté un mauvais sort contre elles. Je ne sais pas pourquoi, mais ma mère me disait que mon père aussi était comme ça, et croyez-moi, ma mère qui parle de mon père, c'est tout un exploit car elle déteste entendre son nom. À l'école, j'étais dans l'équipe de foot-ball, de basket-ball et de rugby. À tous les match, les filles me regardaient en souriant et en criant mon nom, j'avais trop de popularité pour ma tête alors à chaque fois que j'entendais mon nom durant un match, je jouais mal pour les quinze minutes qui suivaient. Ma vie a été très contrastée. Passant des pires moments de ma vie avec mon beau-frère égoïste à l'adolescent populaire qui ne trouvait plus de place dans son horaire pour sa supposée famille. Bref mon cas est spécial et avec les filles, ça a toujours été plus que spécial.
Avec les filles, je n'étais plus le même. Étant fêtard de nature et infidèle à cause de mon père, je ne savais pas ce qu'était le véritable amour. Je n'y croyais pas, j'ai été durant longtemps célibataire et aussi souvent dans différents lits. Quand bien même que je faisais quoi que ce soit, je restais le même connard nymphomane. Depuis que j'ai couché avec une fille pour la première fois, je n'arrive plus à m'arrêter et quand je suis allé chez le médecin pour me faire dire que j'étais un nymphomane, laissez-moi vous dire que la surprise fut assez surprenante (logiquement). Lorsque j'ai atteins l'âge de dix-huit ans, lorsque l'on a déménagé à Boston, ma famille et moi, j'ai tout changé en moi. Je suis passé du nymphomane en manque au garçon qui adorait les filles et dont la timidité avait baissée. J'avais plus d'estime en moi-même, plus que j'en avais jamais eu. Quand je suis allé au cégep, je crois que ce fut les meilleurs moments de ma vie, je passais toutes mes soirées avec une fille seulement, celle qui avait fait battre mon coeur comme jamais. Elle se nommait X, je crois que jamais je n'avais aimé comme ça. Moi qui croyait qu'il y avait que des coeurs solitaires et que l'amour n'était que foutaise, j'ai enfin trouvé LA femme qu'il me fallait. Mais quand j'allais dans des bars, l'ancien moi refaisait surface et je couchais avec n'importe qui, n'importe où, n'importe quand. Mais X était différente, je ne voulais pas l'utiliser comme un vulgaire jouet. Je ne voulais pas l'utiliser du tout même. Je l'aimais vraiment et je crois que cette pensée m'avait fait peur. Elle m'avoua alors qu'elle était Irlandaise et qu'à la fin de ses études, elle allait retourner dans son pays natal. Elle allait terminer ses études et j'allais perdre la femme de ma vie, que pouvais-je bien faire ? Je ne pouvais rien faire, je ne pouvais pas la supplier de rester, je ne pouvais pas l'embrasser comme dans les films car elle disait avoir un petit ami. Elle ne cessait de me parler de lui, c'est à croire que Cupidon ne m'a jamais réellement aimé pour m'empêcher d'aimer, le coeur grand ouvert. Mais je crois que X se doutait de mes sentiments car elle commençait à être plus intime, elle me confiait tout n'importe quand. Elle pouvait m'appeler à trois heures du matin, je m'en foutais, sa voix me réconfortait.
Et vint le jour où elle quittait Boston pour retourner en Irlande. Pourquoi me sentais-je si mal de vouloir la garder auprès de moi ? Pourquoi me sentais-je si torturé de voir que je ne pouvais pas faire quoi que ce soit pour pouvoir l'embrasser. Elle m'a tenue la main jusqu'à l'aéroport en pleurant pour que je la suive. Je ne l'avais jamais vu pleurer, jamais. Je me sentais si mal de devoir la laisser partir, sans pouvoir la retenir. J'adorais sa voix, son corps, son caractère, ses habitudes et ce qu'elle demandait. J'aurais pu faire n'importe quoi pour elle, si seulement j'aurais pu lui montrer à quel point je l'aime. Elle me regarda dans le train en direction de l'aéroport avec un mince sourire. « Qu'est-ce qu'il y a ? » dis-je en tentant de lui sourire à mon tour. « Je vois que tu ne veux pas que je parte. Pourquoi tu fais rien ? » Elle venait de me prendre au dépourvu, comment pouvais-je bien réagir face à cela ? J'ai donc répondu: « Parce que, je peux rien faire. Tu pars en Irlande... retrouver ton petit copain. »« Oui... mais pour le moment, est-ce que je suis en Irlande ? »« Non... »« Alors tu permets que je fasse un truc ? »« Tant que tu ne me tues pas » Elle s'approcha alors de moi et m'embrassa. Depuis, je fais tout pour l'avoir pour moi. Cela fait cinq ans qu'elle est partie de Boston, et ça fait quatre ans que je suis en Irlande. Je l'ai trouvée, mais je ne trouve pas le courage pour aller la rejoindre. Elle est célibataire selon des sources, ce qui me plait bien mais j'ai peur de la perdre pour de bon. Je vais donc aller la rejoindre bientôt, lui parler et faire n'importe quoi. J'espère seulement qu'elle va me reconnaître et qu'elle ne sera pas déçue, car depuis la dernière fois, j'ai beaucoup changé (ici).
Dernière édition par Blake T. Northington le Mar 27 Juil - 5:11, édité 5 fois
Mais mais... C'est Katie Cassidy ça! *w* Bienvenue sur le forum et parmi nous =D. J'espère que tu te plaira *w*, t'inquiète, si tu t'ennuie... Enfin non: tu pourras pas t'ennuyer xD. BREF! Je te dirais juste : bonne chance pour ta fiche *w*.
Sulivan P. McQuin
Pseudo : Maàth. Messages : 292 Date d'inscription : 25/07/2010 Age : 28
Haut de Forme Mon amour: Pas de chéri? Relations: À savoir:
Mais mais... C'est Katie Cassidy ça! *w* Bienvenue sur le forum et parmi nous =D. J'espère que tu te plaira *w*, t'inquiète, si tu t'ennuie... Enfin non: tu pourras pas t'ennuyer xD. BREF! Je te dirais juste : bonne chance pour ta fiche *w*.
Nan mais.... c'est ma petite française favoriiiiiite :) *si tu me reconnais pas après, je m'expédies en France pour te botter le derrière*
Marchii à vous deux et toi Sulivan, c'est pas FRANCISCO LACHOWSKI sur ton vava ????
Liam-Carter Booth
Pseudo : electricshots Messages : 14 Date d'inscription : 26/07/2010
Mais mais... C'est Katie Cassidy ça! *w* Bienvenue sur le forum et parmi nous =D. J'espère que tu te plaira *w*, t'inquiète, si tu t'ennuie... Enfin non: tu pourras pas t'ennuyer xD. BREF! Je te dirais juste : bonne chance pour ta fiche *w*.
Nan mais.... c'est ma petite française favoriiiiiite :) *si tu me reconnais pas après, je m'expédies en France pour te botter le derrière*
Marchii à vous deux et toi Sulivan, c'est pas FRANCISCO LACHOWSKI sur ton vava ????