made by mischievous wink

Je me prénomme Azylis-Jazz Pearlyne Dashwood - Van Der Host et j'ai 21 ans. Cela fait maintenant 1 année que je suis en Irlande. Je suis hétérosexuelle et je fais parti de la noblesse . Je suis plutôt du genre; réservée, distance, hautaine, douce, distinguée, maniérée, calme, posée, rieuse, double-face, intimidante. Je suis Célibataire. J'habite en Irlande parce que mes parents m'y ont emmenée il y a un an, je suis restée ici car je n'ai pas souhaité repartir. Personne ne comprend pourquoi ce son correspond à Pearlyne, et pourtant quand on la regarde durant un jour entier, on peut comprendre. Cette fille a été soumise à l'autorité parentale depuis le début, puis elle a été délaissée par ses parent quand ils l'ont considérée apte à se débrouiller toute seule. Pourtant, a part lui enseigner des fondements, ils n'ont rien fait. Ce ne sont pas eux qui lui ont appris a marcher, ce ne sont pas eux qui lui ont offert un gâteau avec pleins de bougies pour ses six ans. Par contre, c'est eux qui ont viré cette nourrice. Dans le coeur de la jeune fille, il y a de la solitude, une joie trop souvent étouffée, qu'elle voudrait souvent laisser éclater. En fait, cette chanson, elle aurait aimé la chanter à ses parents, comme signe de rebellion. Azylis-Jazz Pearlyne. Un nom raffiné pour une fille raffinée. Cette jeune femme aime les couleurs claires, douces et délicates, et a une passion pour les fleurs depuis qu'elle est toute petite. Elle passait des heures avec les jardiniers, essayant d'apprendre le nom de toutes les fleurs, leurs vertus et leur environnement pour qu'elles poussent. Ce qui ne plaisait pas trop à ses parents, des gens bien tristes et sombres, contrairement à elle. Pearlyne aime les parfums légers, les maquillages discrets et frais. Le froid ne la dérange pas, bien qu'elle aime aussi passer beaucoup de temps au soleil. Cependant, côté musique, elle aime quand ça bouge, quand ça pulse et n'est pas non plus totalement insensible aux objets débordants de richesses. La jeune femme est très soignée, cependant elle aime tout ce qui touche aux arts ; elle peint et joue du piano a ses heures perdues. Autrement, elle aime beaucoup son travail, qui n'est pas très fatiguant puisqu'il suffit d'écrire des formules de politesses et de combler beaucoup de choses pour ne rien dire. Pearlyne lit beaucoup, regarde beaucoup de films, mais préfère les cassettes aux DVD. Elle n'est pas, malgré ses moyens, toujours à la pointe de la technologie, et cela lui va très bien comme c'est. Un beau jour, Pearlyne décida de peindre un pot de fleurs. Rien que ça. Mais pour cela, elle décida de prendre des fleurs particulières. Elle passa des heures dans le jardin, sur l'ordinateur, regarder des films, a se documenter, puis, elle traça toutes les formes et les couleurs sans préavis ; d'un coup, comme ça. sans traits de crayons avant. Elle avait ses pinceaux, ses petits tubes de peintures et elle y alla à l'aveuglette, en essayant de reproduire tout ce qu'elle avait dans les yeux, et dans la tête. Au final, elle fut assez satisfaite de son oeuvre. Son tableau est encadré et positionné dans sa chambre.

Commençons d'abord par le maquillage. Il est frai et pourtant assez chargé, ce qui montre la richesse de la jeune demoiselle. Un fond de teint blafard, qui met en valeur ses yeux noisette soigneusement entouré de bleu, plus intense près des yeux et qui se dégrade de plus en plus jusqu'a devenir blanc en dessous de ses sourcils. Ses sourcils sont élégamment et discrètement redessinés afin de ne pas percevoir de différence s'ils avaient été vrais. Comme contraste à cette douce harmonie, le rouge vif de ses lèvres vient casser énergiquement ce tableau, donnant une impression mystérieuse au visage de la jeune fille. Son haut de forme, en revanche, est très classique. Il est blanc, avec un nœud bleu en satin, et quelques motifs floraux, en jaune pales se distinguent si ont prête attention au chapeau. Le tissu est tout simplement de la laine, de la grosse laine blanche ; et les motifs jaunes sont plus discrets et brodés délicatement avec un fil à coudre. Le chapeau est tout de même bel et bien rigide, grâce aux renforts intérieurs, mais ils ne sont heureusement pas visibles de l'extérieur.

« Azylis-Jazz ! »
Le nom claqua, et le silence retomba. La jeune fille sursauta et recouvra toute son attention sur le devoir du jour. Sa mère la considéra quelques instants, avant de pousser un soupir.
« Ce n’est pas en rêvassant que vous apprendrez bien. Je ne suis pas institutrice, aussi ayez pitié de votre pauvre mère, qui tente tant bien que mal d’insérer dans votre tête ne serait-ce qu’un minimum de culture. »
La jeune fille hocha docilement la tête. Elle garda les yeux rivés sur sa feuille vierge, qui aurait du être couverte d’écriture en entendant sa mère lui dicter un texte en rapport avec la tenue a table. Souvent, elle avait envie de lui répliquer une phrase qui la ferait taire, afin d'avoir la paix. Mais elle ne le faisait jamais. Elle savait bien que si elle avait l'audace de le faire, sa mère ne se tairait qu'un instant. Ensuite, elle entrerait dans une colère folle, et enverrait sa fille dans une maison de correction ; ou peut-être au couvent.
La jeune fille avala difficilement sa salive, et leva ses yeux sur sa mère. La femme la regardait d'un regard rempli de dédain et de mépris. Était-ce normal, qu'une femme déteste à ce point son propre enfant, et ne lui montre qu'en privé ?
La jeune fille ouvrit les yeux et eut un sourire en se remémorant ce souvenir. Tout ça, c'était bel et bien fini, maintenant. En regardant autour d'elle, elle s'aperçut qu'elle était chez elle.Chez elle. Pas chez ses parents. Chez elle, dans cette maison qu'elle s'était achetée toute seule. Pearlyne était désormais bel et bien indépendante. Peu lui importaient ceux qui disaient qu'elle n'avait cette place que par pistons. On lui avait proposé, elle n'avait pas demandé. L'homme qui dirigeait l'entreprise dans laquelle elle travaillait était un proche de la famille, c'était lui qui avait donné à Pearlyne ce goût pou les affaires immobilières. Très vite, les chiffres et les maisons l'avaient intéressée. Et puis, Après avoir été employée pendant trois ans, son patron décida de prendre sa retraite et de lui céder son entreprise. Depuis, elle n'avait presque plus rien à faire. Ou presque.
Mais comment pouvait-elle trouver ça immoral ? Elle était née dans ce milieu ; elle n'avait jamais connu que la richesse et le bonheur de vivre. Avec l'éducation stricte qu'elle avait reçue, elle avait échappé au monde cruel et impitoyable de l'esprit de rivalité, de la drogue et de la luxure. Pearlyne était une sainte. ou plutôt, une imbécile heureuse. Et riche.

Pseudo/Prénom: mischievous wink / Maude
âge: 15 ans
que pensez-vous du contexte et du forum en lui même? C'est juste excellent ; rien que le contexte est captivant, et l'apparence du forum est très soignée, ce qui le rend vraiment génial.
présence? /7 4/7
avatar: Magdalena Frackowiak
Autre chose à nous dire? Je vous aime déjà

La fondatrice m'a confié une mission, accueillir les nouveaux pendant son absente de 30 minutes donc je te souhaite la bienvenue **