Sulivan P. McQuin Pseudo : Maàth. Messages : 292 Date d'inscription : 25/07/2010 Age : 28
| Sujet: SULIVAN ♣ terminé coco ;) Dim 25 Juil - 17:00 | |
| made by . Paprikà | Je me prénomme Sulivan et j'ai 17 ans ans. Cela fait maintenant 07 années que je suis en Irlande. Je suis hétérosexuel et je fais parti du Tiers-État . Je suis plutôt du genre; rêveur, calme, doux, à l'écoute, timide, méfiant, peureux, maladroit, jaloux, possessif. Je suis Célibataire. J'habite en Irlande parce que j'avais envie de découvrir ce pays et pour fuir le pays où la femme de ma vie 'ma plaqué, je suis résté(e) ici car j'en suis tombé amoureux et que revenir en France était trop dur. « ▬ Non c’est terminé Sulivan, lâche moi. ▬ Mais … Vicky ? Tu ne peux pas me faire ça … ▬ Bien sûr que si je le peux ! »Sur ses mots, elle tourna les talons et se mit à courir vers la sortie du supermarché. Je la suivais du regard n’essayant même pas de la rattraper. Je me retins de verser quelques larmes, je serrais les dents et les poings. Nous étions dans le rayon des sous-vêtements féminin, il n’y avait que des mémés qui nous regardaient d’un œil curieux et il se trouvait justement que la musique qui passait était celle-ci. Innocence de Avril Lavigne, comme il refuse d’oublier sa belle & tendre, il écoute cette musique souvent et il se rappelle de tous les bons souvenirs et de tous les mauvais ici. J'aime les blondes, les gros seins, les petits culs, les jambes bien rasées, les frites, les mcDo, les rayons sous-vêtements féminin, les pommes de terre à l'eau, Lady Gaga, l'eau, la mer, la neige, mon portable, les kinders surprise, sentir la lessive, le sport, les raviolis, la musique, faire peur aux gens, les fraises, les haribos, les bonbons, l'odeur que dégage le sèche-linge, le beurre, W9, les kangourous, les koala, les phoques, me faire fouetter ** Je n'aime pas Mon prénom, le chocolat blanc et noir, mes parents, la pluie, stromae, les légumes verts, les carottes, les hypocrites, les fouteurs de merde, les menteurs, l'injustice, le rap, la flute, la sodomie, les potatoes, les salades, les pamplemousses, les ours en peluche, les poils, les serpents, les 14 juillets, la sur-médiatisation de la mort de MJ, les homophobes, les examens, qu'on me prenne pour un con, qu'on me plaque dans un supermarché. Je me souviens, j'avais 08ans et j'ai fabriqué un avion en papier, au début, ce n'était qu'une feuille de papier blanche, j'ai rabattus les deux points du haut comme pour faire le toit d'une maison, après, j'ai rabatus les deux côtés sur l'autre, ca faisait une demi-flèche. Après, j'ai plié les deux hauts et voilà, mon avion en papier était prêt (je sais, c'est mal détaillé mais vous voyez hein ? xD) |
- Spoiler:
Mon haut de forme est plutôt simple, je préfère les choses simples et pas trop voyant que les choses trop compliqués et extravagante que tout le monde voient vous voyez ? Donc mon haut de forme, c'est un chapeau en ce tissu (spoiler) avec accroché dessus, près du pli ce badge ( spoiler) Rien de plus, rien de moins, ça me suffit et ça me va. Quand à mon maquillage, il est tout aussi simple, un peu de crayon noir sur mes yeux pour faire ressortir mes yeux bleus, un œil sur le torse du côté de mon coeur et enfin, un autre tatouage sur la joue gauche représentant une colombe (symbole de la paix) coloriée en bleu blanc et rouge pour symboliser mon pays de naissance, La France. Je n'aime pas être au centre des regards, je préfère rester simple pour ne pas attirer les regards.
Un jour, je me suis dit qu’il fallait que je prenne les choses en main. Je devais avoir 07ans et je détestais le nouveau truc qui venait d’atterrir à la maison, me mère m’expliqué que c’était un « beau-père » je m’en foutais pas mal de ce que c’était, ce que je savais, c’est que je le détestais. La façon dont t’il parlait à ma mère m’énervait, et même si je n’avais que 07ans, je compris que ma mère n’était qu’une soumise. « Femme ! Une bière ! » Et elle exécutait comme une bonne. Pour qui il se prenait ce gros boudin qui restait sur le canapé a longueur de journée à zapper entre le foot et le tour de France ou qui jouait au poker en misant de la vraie monnaie. L’idée m’est venue en regardant un épisode de « Joséphine ange gardien » Il fallait que je fasse dégager ce gros thon de ma maison. Un week-end de vacances où j’étais chez mon père, je décidais de mettre en action le plan A, refaire tomber maman amoureuse de papa, lui l’était toujours. Plan A, le chantage affectif, quand ma mère vint me chercher a la fin du Week end, c’était le bon moment pour passer à l’attaque. « Maman, si tu ne retombes pas amoureuse de papa tout de suite, je partirais par la fenêtre de ma chambre comme ils font dans les films » Bien sûr, c’était faux, ma chambre était un premier étage, si je saute, je meurs, et je n’avais aucune envie de mourir, ma mère se contenta d’éclater de rire, d’adresser un signe de tête à mon père, de me prendre par la main et de m’entrainer dehors. Très bien, le plan A n’avait pas marché, et il était temps de passer au plan b, c’était le dernier, je n’en avais pas d’autres, objectif du plan b : donner envie au gros boudin de quitter la maison en le faisant tourner en bourrique. Ce plan allait être dur, ça allait durer longtemps, mais j’avais de la patience à revendre, et je connaissais le caractère du hareng qui peuplait ma maison, et je savais qu’il n’était pas patient du tout, ça allait être un jeu d’enfant. Un après-midi, maman était parti faire les courses et le débile qui me servait de beau-papa regardait la télé, allongé sur le canapé, une bière a moitié vide sur son ventre. Petit a, prendre la bière en faisait croire que je ne savais pas ce que c’était, petit b, boire la bière, je consultais ma montre, 16h27, j’entendais la portière de la portière claquer, il était d’opérer, je dévalais les escaliers en silence et m’approcha de mo, beau-père. « C’est quoi ça ? Ca se boit » Avant que le poisson puant ne réagisse et me dise que je ne devais pas le boire, je portais le récipient à ma bouche et en bu deux gorgées avant de cracher un filet de salive pour enlever le gout d’horreur qui empestait désormais ma bouche. Je commençais à avoir la tête qui tourne. Ma mère entrait à ce moment là dans la maison et me vit, chanceler, la bouteille en verre de bière dans la main avec mon beau père qui essayait de la reprendre. « DOUX JESUS ! Sulivan, qui t’a fais boire ça ? » Je montrais le gros porcinet de l’index et pour lui faire croire, je m’approchais d’elle et tombais à ses pieds, elle me prit dans ses bras et commença à insulter et à engueuler le saumon obèse de choses que je ne comprenais pas, sonné par l’alcool. Le lendemain, je vis que mon plan avait presque marché, ou du moins, avait bien commencé, la grosse patate qui décorait mon salon me lançait des regards noirs et ma mère me lançait des regards comme si j’étais un jeune homme traumatisé. Il fallait que je force encore un peu et j’eus une idée, deux jours plus tard, maman s’absenta pour aller se refaire les ongles des pieds, une pédicure. J’examinais chaque étiquettes indiquant les dates de conservation de chaque yaourts présent dans le frigo, ma mère n’avait pas encore jetés ceux d’il y a trois semaines, je pris une cuillère et entama un yaourt périmé de deux semaines goût pêche. Quand ma mère rentra de sa pédicure quelques heures plus tard, elle me vit avec de la fièvre et du yaourt sur la table, mon père buvait sa bière devant son tour de France débile. « Sulivan, qui t’a donné de yaourt ? » Je montrais mon beau-papa du doigt, une nouvelle dispute commençait, à la fin, la grosse patate dit cette phrase. « J’en ai marre, ce gamin va me faire exploser de rage, je me casse » Là, mes yeux s’illuminèrent, j’avais réussis, la victoire était à moi. Je ris intérieurement et je suivais des yeux le gros poisson claquer la porte avec une joie grandissante.
« Putain, cette fille est trop canon » Non, elle n’était pas canon, elle était juste belle avec ces cheveux blond platine, ses lunettes de soleil, son manteau de cuir, sa démarche gracieuse et précise. C’était le premier jour de classe et c’était la troisième, j’étais déjà en Irlande à cette époque là. J’admirais cette beauté de la nature marché vers la foule de 3eme qui s’était formée. Le directeur commença la répartition des classes. A cet époque là, j’étais déjà plutôt bien formé et c’est avec plaisir que je vis les regards admirateur qui se posaient sur moi au passage dans ma classe. J’eus la joie d’avoir « cette fille trop canon » dans ma classe, et elle s’appelait Vicky, magnifique prénom pour magnifique jeune femme. Nous entrions en salle de mathématiques, c’était un professeur de cette matière notre professeur principal, un homme qui me semblait détestable. Je la vis s’asseoir au troisième rang, je décidais de m’asseoir à côté d’elle et d’utiliser la technique de drague ma plus efficace (ou pas) « Hey, on se serait pas déjà vus quelque part ? » C’était pas très originale mais il parait que ça marche, la jeune femme tourna la tête vers moi et retira ses lunettes de soleil dévoilant ces magnifiques yeux. « Casse-toi ! » C’est ce qu’on appelait, se faire jeter en beauté. Mais je savais que c’était une technique pour se faire désirer. Un nouveau sourire sur les lèvres, je continuais mon petit charme. « T’a de beaux yeux tu sais ? » La jeune femme afficha une expression de lassitude et me fit les gros yeux. « Casse toi je t’ai dit » De toutes évidences, ce n’était pas le jour. Mais je ne comptais pas lâcher l’affaire, quelque chose m’unissait à cette fille, je le sentais, ou je me faisais des idées, à la cours, je la vis assise sur un banc, seule, regardant la cour derrière ses lunettes noires. Je m’approchais de ce banc et m’assis à côté d’elle. « Comment ca se fait qu’une jolie fille comme toi n’ai pas un masse d’homme autour d’elle ? Tu les a envoyés balader ? » La jeune femme retira ses lunettes et se tourna vers moi. « Et je sens que tu vas vite les rejoindre » C’était quoi son problème à cette fille, toutes les filles aimaient se faire draguer non ? Ou alors, j’étais mauvais. Mes sourcils se froncèrent. « Allez, tu ne me facilite pas la tâche là. » La jeune fille remit ses lunettes sur son nez et se remit à son observation de la cour de récréation. Son indifférence me poussa à rester sur ce banc en sa compagnie, j’espérais un petit rire de sa part à la suite de mon histoire. « C’est l’histoire d’un rat qui chante quand soudain, un corbeau vint le rejoindre, le corbeau dit qu’il a une meilleure voix que le rat, le rat dit que non, à ce moment, un cochon vint les rejoindre et dit qu’il allait dire lequel d’un rat ou du corbeau chante le mieux, le corbeau et le rat s’affrontent donc dans un concours de chant, a la fin, le cochon dit que le corbeau avait une meilleure voix, le rat se mit donc à pleurer, le corbeau dit qui sil pleurait, c’est qu’il avait perdu mais le rat dit que non, que si il pleurait, c’est parce qu’il venait de se faire juger par un porc. » La jeune fille se tourna vivement vers moi et sourit avant de lâcher un petit rire, elle se leva et s’éloigna, le sourire aux lèvres. Après quelques jours, quelques semaines de luttes, je parvenais à avoir un baisé sur les lèvres, ce baisé suivit une relation amoureuse qui prit fin deux ans plus tard, dans un supermarché.
Pseudo/Prénom: Maàth. âge: 14 ans que pensez-vous du contexte et du forum en lui même? Comment qu'ça à l'air de gérer ** présence? /7 7/7 sauf à partir du 05 septembre avatar: Fransisco avecunnombizarre>.< Autre chose à nous dire? La fille sur le header (S. bush ?) fait un peu peur -out-
Dernière édition par Sulivan P. McQuin le Lun 26 Juil - 17:58, édité 22 fois |
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